Notre voisin Nostradamou se fait rare . Rappelons qu' il n'est qu' un observateur " civil" et non un scientifric. Nous l' acceptons dans nos pages car nous avons pû vérifier le bien - fondé de ses voyances, et son don de guérisseur en cas de bobo et même de maladie d' un RG .
Nous nous portons bien , peut-être grâce à Nostradamou . Peut-être aussi parce que nous préférons rester en bonne santé, ayant choisi il y a qqs années Douste-Blazy comme médecin traitant !
L' Ordre des médecins n' aime pas les Nostradamou ni les médecins qui choisissent les médecines alternatives , tels que Alain Scohy par exemple , qui nous a aimablement autorisés à publier ce texte :
Ce cancer touche des hommes de plus en plus jeunes ... grâce au dépistage !
Le diagnostic est en effet posé le plus souvent à la suite d'un dépistage systématique qui a montré une augmentation du taux de PSA.
Dans de très rares cas, le malade a fait une rétention d'urine aiguë qui a nécessité un sondage en urgence.
Bien sûr, la médecine officielle se veut rassurante. Grâce au dépistage, il serait possible - selon elle - d'enrayer le processus cancéreux et de prolonger la vie. Leurs thérapies vous sauverait la vie !? Mais le pronostic objectif est beaucoup moins réjouissant qu'ils ne veulent bien le dire...
Et c'est normal !
La prostate n'est pas un organe anodin. C'est elle qui fabrique le sperme, ce liquide nutritif fondamental qui va permettre aux spermatozoïdes d'être assez vigoureux pour aller féconder l'ovule ! Le sperme s'accumule dans les vésicules séminales où les spermatozoïdes en provenance des testicules viennent séjourner avant le grand jour, pour eux !
Il est clair qu'un cancer de la prostate, dans le paradigme psychosomatique, est relié de manière logique à cette fonction.
Curieusement, il ne se produit en général que chez les hommes “mûrs”.
Comme toujours, le cancer a pour but de mettre le turbo et de pallier à une situation de crise au plan psychologique.
L'immense problème “instinctif” des hommes d'âge mûr, c'est la procréation.
Et c'est bien là que les choses se corsent.
Et pourtant, le problème est bien là ! Le tout est de comprendre une fois pour toutes que notre corps est “piloté” de manière automatique par un fabuleux ordinateur : le cerveau.
La fécondité est donc quelque chose de particulièrement important pour notre cerveau.
- Ce peut être une relation avec une femme beaucoup plus jeune,
- Ce peut être une réflexion désobligeante à propos de notre virilité ou de notre capacité à faire des garçons,
- Ce peut être - pour le grand-père - l'apparente incapacité de nos petits enfants à proroger l'espèce. Et le vieil étalon se donnera pour mission de prendre le relais,
- Mais surtout, ça peut être simplement virtuel... Un fantasme sur une femme plus jeune, une simple photographie ou un simple dessin parfois ! Surtout si nous usons, à cette occasion, de la masturbation.
La prostate est une petite glande située en avant du rectum, sous la vessie, englobant l'urètre qui permet la miction.
L'ordre du cerveau de passer en mode turbo entraîne une mobilisation des microzymas qui la constituent.
Si la situation est “normale” - c'est-à-dire si l'hygiène de vie est correcte et en l'absence de carence importante en Vitamine C ou autres substances vitales - cette prolifération ne dépassera jamais les limites du tolérable.
Très souvent, cette situation alternera avec des accalmies. Sitôt que le stress tombe, le cerveau ordonne le démontage des cellules turbo ... et le taux de PSA augmente !
Très souvent, le cancer de la prostate s'accompagne d'une importante augmentation du taux de PSA.
Eh bien, il se trouve que le Dr Anne Fortier et ses confrères de Rockville (Etats-Unis) ont démontré que le P.S.A. empêche l'angiogenèse, c'est-à-dire la formation du réseau de vaisseaux et de capillaires sans lesquels la tumeur est incapable de se nourrir et, par conséquent, de se développer. Leur étude, réalisée sur des cultures de cellules, a montré que le P.S.A. inhibe la prolifération des cellules vasculaires. L'effet est d'autant plus marqué que les doses de P.S.A. sont importantes.
Richard Sünder : http://fr.groups.yahoo.com/group/pansemiotique-psychosomatique
- Prise de conscience de tous ces mécanismes et mise à plat du stress avec le décodage, puis tout le travail de deuil jusqu'au lâcher prise,
- Vitamine C et Vitamine E Naturelle en quantités suffisantes,
- Bromélaïne pour aider à démonter la tumeur pendant les périodes aiguës,
- Cuisson des légumes à grande eau et à deux eaux successives pour diminuer l'inflammation et l'œdème local,
sont en règle générale suffisants et permettent d'obtenir une vraie guérison.
- Un peu d'homéopathie peut aider, et en particulier PALIURUS SPINA CHRISTI en 30 K ou 5 CH (épine qui a servi à confectionner la couronne du Christ). Il suffira de porter le tube de granules en poche pour avoir l'effet,
- Le zinc peut optimiser les performances sexuelles et éviter le sentiment de dévalorisation et les conséquences que cela pourrait entraîner,
- À la limite, quelques hormones males pourraient aller dans le même sens !
La clé ultime sera bien sûr de grandir en conscience, en sagesse et en amour, de diminuer le nombre de repas dans la journée (la digestion nous ramène en pilotage automatique) pour privilégier celui du soir, et de travailler à une autre fécondité, sur d'autres plans que purement génital.
Elle est loin d'être simple.
Il y a d'abord le fichage du patient selon des critères multiples et complexes, soi-disant pour mesurer la gravité du processus... C'est déjà un stress monstrueux où la peur de la mort et la dévalorisation sont évidentes.
La peur de la mort va entraîner la construction par le cerveau d'une nouvelle bouée de sauvetage au niveau du poumon. Les médecins parleront de métastase pulmonaire ou mieux de lâcher de ballons si les bouées sont multiples !
La dévalorisation va se traduire par des caries au niveau des ganglions lymphatiques et de l'os...
La scintigraphie osseuse qui est une méthode d'investigation complexe à l'aide de substances radioactives mettra en évidence les caries osseuses avec les ébauches de reconstruction.
La chirurgie mutilante que l'on pratiquait à l'époque de mon installation (dans les années 1970) est aujourd'hui abandonnée.
Actuellement, la chirurgie la plus couramment pratiquée est la tunnelisation.
La tunnelisation consiste à creuser un tunnel au cœur de la masse prostatique jusqu'à la vessie en emportant le sphincter supérieur.
Le sphincter inférieur est suffisant pour permettre la continence de manière habituelle...
Mais par contre, les prochaines éjaculations remonteront automatiquement dans la vessie et le patient retrouvera son sperme dans ses urines.
La thérapeutique hormonale est souvent utilisée.
La bombe atomique au cobalt (radiothérapie) est aussi proposée. L'inconvénient majeur est que l'irradiation atomique ne se cantonne pas à la glande prostatique elle-même, mais diffuse à tout son voisinage. La vessie et le rectum vont être particulièrement sensibles et les conséquences ne seront pas négligeables. C'est une brûlure particulièrement néfaste. La glande quant à elle va se rétracter et se nécroser.
La chimiothérapie n'est pas proposée en général en première intention pour ce cancer. Elle n'interviendra que lorsque la situation sera dépassée selon les médecins, c'est-à-dire lorsqu'ils auront constaté les localisations pulmonaires, lymphatiques et osseuses qu'ils auront provoquées ... mais qu'ils baptiseront métastases.
La mort fine viendra bien sûr parachever le processus ! Le patient mourra d'une overdose de morphine, dans un état d'abrutissement profond, sub-comateux, sans avoir rien compris et surtout sans avoir profité de l'occasion pour grandir en sagesse, en conscience et en amour !
Mais comment pouvait-il imaginer que tous ces personnages tellement importants - en blouse blanche, revêtu du fameux et sacro saint stéthoscope, remboursés par la merveilleuse Sécurité Sociale - sont complètement à côté de la réalité ?
Alain Scohy, juin 2007